Rencontrez Kaylie Briggs-Crawford

Parc national de la Pointe-Pelée

Kaylie Briggs-Crawford avec un tortue

Titre du poste

Technicienne en géomatique des écosystèmes 

Quel a été votre parcours d’études ou de carrière?

J’ai fréquenté le Collège Sir Sandford Fleming College à l’Université Trent, où j’ai étudié la restauration écologique. J’ai ensuite obtenu un baccalauréat en études environnementales avec une double spécialisation en conservation des ressources et en politique environnementale. J’ai aussi un certificat en réhabilitation de la faune.
Pendant mes études secondaires et universitaires, j’ai voyagé dans de nombreux pays pour participer bénévolement à la réhabilitation de la faune, et j’ai contribué à plusieurs études scientifiques sur la faune et la flore.

J’ai occupé différents postes au sein du département de conservation des ressources du parc national de la Pointe-Pelée, notamment : étudiante en conservation des ressources, technicienne en gestion des ressources, technicienne en gestion des ressources pour la conservation et la restauration des marais, agente de gestion des ressources pour la conservation et la restauration des marais, et mon poste actuel de technicienne en géomatique des écosystèmes.

Qu’est-ce qui vous a attirée à la Pointe-Pelée? Quand avez-vous commencé à travailler au parc national de la Pointe-Pelée?

Kaylie Briggs-Crawford

J’ai commencé à travailler à la Pointe-Pelée au printemps 2016 comme étudiante d’été pour le service des travaux généraux. Je savais que je voulais travailler dans la conservation/restauration de l’environnement, etc., mais je n’avais aucune idée que la Pointe-Pelée avait un département de conservation des ressources lorsque j’ai commencé. J’ai ensuite commencé mes études en conservation des ressources à l’été 2016.

Que faites-vous pour Parcs Canada?

Actuellement, je collecte des données géospatiales afin de les saisir, les analyser, les traiter, les présenter, les diffuser et les gérer pour soutenir l’unité de gestion de l’APC du sud-ouest de l’Ontario. Par exemple, je crée des cartes afin de délimiter et de définir clairement les habitats essentiels pour les espèces en péril. 

Que diriez-vous à une jeune fille au sujet d’une carrière dans la science, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STIM)?

Ces domaines sont très compétitifs, mais si vous êtes passionnée par une carrière dans les STIM, je vous promets que ça en vaudra la peine, car travailler dans la conservation des ressources a été extrêmement gratifiant pour moi. Saisissez toujours toutes les occasions de continuer à apprendre, à vous développer, à faire du bénévolat et à acquérir de l’expérience.

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